Il y a deux questions que les gens se posent, le soir, en rentrant du bureau.
La première: "A quoi je sers dans la vie?" (en fait :"Qu'y a-t-il, vraiment, après la mort?" Mais on n'ose pas se le dire comme ça.)
Et la seconde: "Où vais-je trouver une place de parking?"
Et les gens qui prennent le train, me direz-vous? Ceux qui vont à pied? en vélo? en roller? en mule? sur les mains? etc.
Leur seconde question est: "Aura-t-il trouvé une place de parking?"
lundi 7 février 2005
L'aphorisme du jour, à la Woody Allen
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Excellent (et tellement vrai!)
RépondreSupprimerEt dans certains quartiers quand on arrive à trouver une place, souvent cela répond aussi à la première question (il y a vraiment parfois un dieu des chercheurs de place...)
Woody Alen est une source intarissable.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup sa citation dans Annie Hall :
"Je ne ferais jamais partie d'un club qui souhaiterais m'avoir moi pour membre."
Vilcoyot: intarrissable, oui! "Dieu est mort, Marx est mort... Et moi je ne me sens pas très bien" Ou encore :"J'ai été moi-même victime l'autre jour de ce qu'on appelle la contraception orale: j'ai demandé à une femme si elle voulait coucher avec moi et elle m'a dit non."
RépondreSupprimerBlaise: oh oui! Ma femme trouve toujours une place et moi jamais! (c'est pour ça que je roule à moto
Pour être exact, et si je ne m'abuse, "Je ne ferais jamais partie d'un club qui souhaiterais m'avoir moi pour membre" est de Groucho Marx.
RépondreSupprimerosr > Il ne sais plus de qui justement donc je te fais confiance.
RépondreSupprimerLes derniers que je connaisse :
"On n'a jamais vu un aveugle dans un camp de nudistes."
"L'éternité, c'est long, surtout vers la fin"
Woody Allen me fait penser à Calvin et Hobbes.