L'internaute se prend pour un gros malin mais il n'est qu'un gros acheteur.
Dans leurs processus d'achats, les internautes sont absolument persuadés
- en tout cas ils s'en vantent - qu'ils se font moins avoir que la moyenne des Français parce qu'ils
s'informent davantage. C'est peut-être vrai.
Résultat: ils dépensent deux fois plus!
(étude MSN commentée par Valérie
Collet dans Le Figaro du 19 décembre 2005).
Certes, le pouvoir d'achat de l'internaute est supérieur à la
moyenne.
Mais il est vrai aussi que c'est un fan de logos: 46% d'entre
eux affirment leur attachement aux marques contre 30% des acheteurs
traditionnels.
Du coup, malgré leurs enquêtes perso fouillée, ils cèdent plus
volontiers aux achats d'impusion et se laissent aller à des achats
"déraisonnables".
"Cette proximité rend l'internaute plus vulnérable" dit l'étude.
C'est un euphémisme.
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